Covid-19 : Pandémie ou syndémie ?
L’état de santé des français est dégradé par une baisse de la qualité des soins publics liée à une faible attractivité, des réductions d’effectifs et de lits d’hospitalisation combinée à une offre de soins libérale appauvrie qui fragilise la population. L’AMUF se mobilise pour un service de santé public garantissant une offre de soin quantitative et qualitative des soins en France. Nous partageons cette réflexion concernant la SYNdemie qui nous frappe avec vous et vous invitons à partager avec nous vos avis et analyses dans la section de commentaires en bas de la page (réservé aux adhérents).
“Syndémie” : déjà malades avant de tomber malades ?
Philosophie Magazine, mensuel n°146, février 2021.
Le Covid-19 n’est pas une pandémie », affirmait il y a peu Richard Horton, rédacteur en chef de la plus célèbre revue médicale, The Lancet. Certes, sa propagation est devenue un problème mondial (du grec pan-, « tout »). Mais le virus a également profité de l’entrelacs de nombreux autres facteurs pathologiques minant la santé humaine de manière structurelle : obésité, diabète, tabagisme, cancer, etc. Le Covid-19 ne peut être pensé indépendamment de ces problèmes de fond : « c’est une syndémie » – du grec syn-, « avec » -, un terme inventé dans les années 1990 par l’anthropologue américain Merrill Singer.
Sans nous en rendre compte, nous étions déjà malades de nos modes de vie avant d’être malades du virus. Nous avions déjà, avant l’épidémie, perdu le « luxe de tomber malade et de s’en relever » qui définit la santé pour le philosophe Georges Canguilhem dans La Connaissance de la vie (199.) : « Vivre, […] ce n’est pas seulement végéter et se conserver, c’est affronter des risques et en triompher. » Depuis des années, nous vivons confinés dans « un milieu « rétréci » », coupé de l’extérieur et régi par l’exigence de la suivie. Et si la crise syndémique était l’occasion de repenser nos politiques sanitaires, afin qu’elles valorisent la ne santé et non la lutte contre les maladies ?
Voici l’article original ( en anglais) de Richard Horton dans la revue médicale, The Lancet : Offline: COVID-19 is not a pandemic.
France Culture : La santé au prisme de la syndémie de Covid-19
Dans son éditorial du 26 septembre dernier, Richard Horton, le rédacteur en chef de la prestigieuse revue Lancet, nous invite à ne plus considérer l’épidémie de Covid-19 comme une pandémie mais plutôt comme une syndémie, c’est-à-dire la rencontre entre une maladie virale provoquée par le Sars-Cov2 et un ensemble de pathologies chroniques, telles que l’hypertension, l’obésité, le diabète, les troubles cardio-vasculaires, le cancer… C’est munis de cette focale élargie, de ce nouveau prisme Covid-19 qu’une chercheuse et deux chercheurs nous proposent, avec Pandémo-politique (La Découverte) de méticuleusement observer la santé afin de mieux la réinventer ensemble. Jean-Paul Gaudillière, Caroline Izambert et Pierre-André Juven sont cette semaine les invités de La Suite dans les Idées. Ils seront rejoints en seconde partie par le photographe Antoine d’Agata qui s’est lui aussi muni d’autres focales, thermiques, pour saisir ce que le virus a fait à l’hôpital et dans les rues.
Blog exceptionnel ! Merci
https://www.medespoir.ch
Il faut bien se distinguer avec de nouveaux concepts. Plus les idées sont floues, meilleure est l’audience. De tous temps, les grandes pandémies ont touché de façon inégale les populations.
Arrêtez de jouer au savant et soyez pragmatique. Ce n’est pas en élaborant des concepts plus ou moins fumeux que vous allez expliquer la pandémie et trouver des parades. Avoir un titre prestigieux n’autorise pas à disserter sur le pourquoi et le comment sans le moindre indice scientifique pour prouver qu’on a raison. Et quand bien même, cela n’évitera pas la surmortalité.
Les délais pour l’obtention d’un RV se sont tellement allongés que le risque avéré de perte de chance pour retard à la prise en charge est déjà un problème de santé publique. A quand un moratoire sur les actions visant à rattraper les retards pris par la médecine libérale. La résilience de l’opinion face à ce constat ne peut d’avantage contribuer à la banalisation de ce risque societal majeur.
ce terme n’est pas équivoque il nous conduit vers une approche holistique de la covid 19 ; avec d’une part ce qui facilite sa contagion et la situation sanitaire de l’ensemble de la population . peut être un peu trop (nouveau) pour évoquer l’approche du choix des vaccins . A voir !
Je suis littéralement mort de rire a voir ence jour du 5 juillet 2021 d’une part le gouvernement qui inquiète les personnes n’ayant pas été vaccines en disant qu’elles contacteront le Delta , et d’autre part dans cette inquiétude nous laissons a certains voyageurs à quitter le pays alors que cette vaccination n’est vraiment pas certaine !
Pourquoi le gouvernement n’a t’il pas interdit les déplacements déjà internationaux !
Et que chaque départements reste à sa place pour cet été ?
Parceque les gens sont trop pressés !
Notre monde d’aujourd’hui est si pressé !
Que beaucoup ont oublié les choses simple de la vie !
Qu’ils trinquent alors des lors retour !
Comment obtenir un certificat de rétablissement ?
Le test sérologique montre que j’ai contracté la Covid 19. Le test RT-PCR effectué dernièrement est négatif. Tous les médecins contactés me disent que je dois me faire vacciner : une seule injection (et non 2 injections) me serait appliquée puisque j’ai eu la covid, j’ai donc des anti-corps.
Je ne comprends pas pourquoi me faire vacciner alors que j’ai des anti-corps au même titre que toute personne vaccinée et qu’il existe un autre moyen d’obtenir le pass sanitaire : le certificat de rétablissement. Comment obtenir ce certificat de rétablissement ?
malheureusement encore une fois un nouveau variant
Certes il s’agit bien d’une syndémie, les morts avec le Covid le sont pour trois raisons :
1- Interdiction de soigner pour les médecins
2- Inefficacité des injections géniques improprement baptisées « vaccins » tant au niveau de la propagation du virus que de sa protection contre ses effets en particulier pour toutes les personnes de moins de 70 ans sans risques particuliers, car pour eux le nombre de morts est dû en grande partie aux effets secondaires de ces injections dont les effets secondaires n’ont même pas été vérifiés !
3- Nombreux morts dans les EHPAD, liés au défauts de soins appropriés et utilisation d’une drogue qui accélère la mort !
interesting for a very long time