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Ségur de la santé : les contributions et revendications de l’AMUF

La pénibilité du métier d’urgentiste n’est plus à démontrer. L’espérance de vie d’un urgentiste est aux environs de 65 ans et nombreux collègues souffrent dès 50 ans de troubles du sommeil, d’hypertension artérielle, de maladies cardiovasculaires, de conduites addictives et de burn-out. Nous devons améliorer les conditions de travail afin de bien vivre de notre travail.

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Le financement des établissements de santé publique et les jeux d’argent ont conduit aux déficits des hôpitaux. Il faut changer toute leur logique de financement.

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Le problème de la démographie médicale et un des nœuds du problème de la santé avec la limitation du nombre d’étudiants en médecine et soins paramédicaux. Il faut retrouver un sens à la démographie médicale qui doit être celui de l’intérêt des malades et des régions.

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Il faut faire entrer l’hôpital dans la démocratie participative et promouvoir le lien entre les personnels par une adhésion collective et fédérative. Les pôles et leur système clanique et pyramidal sont d’un autre âge. Ils engendrent des dysfonctionnements relationnels et favorisent le harcèlement moral.

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Ces recommandations des sociétés savantes doivent s’appliquer pour des lits traditionnels sans limitation de durée car trop  souvent, les lits d’UHCD (courte durée)  sont embolisés par des patients nécessitant des temps d’hospitalisation prolongés. Il est donc nécessaire de créer des normes pour des lits de médecine post accueil en adéquation avec les urgences.

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Le principal problème de la crise du coronavirus a été le manque de lits de réanimation médicale. Il faut augmenter nos capacités de lits en réanimation médicale et ne plus jamais limiter l’accès par l’âge, ce qui est une bêtise au-delà de tout.

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L’hôpital de campagne monté à Mulhouse a montré l’importance d’un service de santé des armes fort et puisant.  Les armées et la France ont besoin d’un service de santé des armées redynamisé en moyens et en hommes.

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La crise a montré l’importance de ces hôpitaux et de leurs grandes compétences. Arrêtons la casse et développons ces structures

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L’attractivité n’est pas que le début de carrière mais toute la carrière du praticien hospitalier.  Ainsi il faut des échelons supplémentaires pour les praticiens afin que leur salaire soit égal au salaire des universitaires en fin de carrière

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Entre fermeture et ouverture de lits, la modernité est dans la souplesse. Il faut ouvrir un nombre conséquent de lits de réanimation médicale, de chirurgie, de médecine et de psychiatrie en rapport avec les besoins journaliers.

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Afin que tout médecin puisse avoir des temps à consacrer à l’enseignement initial ou continue et  à la recherche fondamentale clinique, thérapeutique ou matérielle. Le tout contractualisé dans le temps et les moyens quel que soit l’hôpital public ou privé.

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Il y a un grand écart de rémunération entre non seulement les médecins libéraux mais aussi les médecins publics qui font du libéral ainsi que les médecins qui font des expertises pour les assureurs. Il faut valoriser les médecins à l’exercice exclusif à l’hôpital public.

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Cela fait des années que ce problème resurgit. De fait, une exploitation des médecins hors communauté européenne permet aux hôpitaux français de fonctionner en les sous payant. Inique système d’immigration choisi sans en mesurer les conséquences dans le pays d’origine de ces médecins qui manquent souvent eux-mêmes de médecins. Payer ces professionnels étrangers comme des français est universaliste et humaniste.

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Le travail de garde est à la fois un travail et une formation. Mais les jeunes générations ont un trop faible pouvoir d’achat et il faut leur montrer que le travail difficile de nuit et des weekend leur rapporte de l’argent pour pouvoir justement se former dans de bonnes conditions.

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La création de la spécialité a engendré une pénurie des médecins urgentistes. Pire, avec l’exercice exclusif les plus anciens se voient mal continuer au rythme des gardes et des stress de ce métier à la pénibilité particulière, surtout si l’urgentiste souffre de maladies . Les plus jeunes renoncent souvent au cours de leur formation voyant la charge de travail et les difficultés.  Il faut recréer la souplesse de ce métier. En remettant la capacité de médecine d’urgence en deux ans nous permettrons à tous les médecins de venir participer à la médecine d’urgence et ainsi nous éviterons une pénurie qui a été sciemment organisée par quelques médecins universitaires.

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Ce  n’est plus possible en 2021 que l’université reste dans son fief avec sa noblesse qui méprise les médecins non universitaires de l’hôpital comme de la ville et les cliniques. L’élection antidémocratique des doyens ne correspond plus à l’évolution de la transparence et de l’adhésion collective des médecins à l’objet universitaire . En 2021 tous les médecins doivent pouvoir se sentir chez eux à l’université et pas comme aujourd’hui dans un univers de clans de groupe de réseaux obscurs . L’universalisme doit revenir dans les facultés de médecine et leur université

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Les raisons de la colère : Les salaires des Praticiens Hospitaliers n’ont pas évolué depuis 2006 et sont bloqués depuis 2016 avec la publication du 3 août 2016 du Journal Officiel.

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Certains médecins cumulent tellement de casquettes qu’ils ont plus de pouvoir que les ministres ou préfets. Ex-chef du Samu, président de CME, universitaire, doyen, responsable national du ministère de syndicat … Faisons dans la société civile ce que les politiques ont réussi : non cumul des mandats.

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La population doit être prise en charge rapidement. La France avec ses territoires d’outre-mer, est le pays avec la plus grande surface de littoral et diversité climatique et géographique au monde: nous devons garantir les secours et leur prise en charge par les corps régalien de l’État.

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Trop de médecins meurent d’accidents en sortant de garde. Nous devons apprendre à avoir un temps de travail permettant aux médecins d’être dans les meilleures conditions dans l’intérêt du malade. Travailler plus de vingt heures de suite est dangereux à la fois pour le médecin et pour le malade. Ensemble, améliorons nos conditions de travail et de vie.

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Nous demandons la réduction des effectifs administratifs dans les hôpitaux et ARS au profit d’effectifs soignants médicaux et paramédicaux. Nous exigeons également la limitation des fusions de services dans le cadre des  GHT pour maintenir une offre de soins sur tout le territoire.

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Les raisons de la colère : Les besoins en médecins ne cessent d’augmenter. Il est scandaleux que les doyens de médecine ne voient la médecine qu’en fonction des carrières universitaires et n’ont aucun souci des problèmes de démographie médicale. Les médecins manquent en France . Nous devons en former plus.

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Les raisons de la colère : Les services de réanimation qui ont été dégradés en soins continus au cours des 10 dernières années, ont tous assumé des activités de réanimation durant la pandémie ce qui justifie de prendre en considération les compétences sur tout le territoire. Cela implique de permettre aux CHG de justifier d’activités de spécialité (réanimation, maternité de niveau 2, etc.) et de ne plus raisonner en termes de réseaux et de centres de compétences.

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Les raisons de la colère :100 000 lits ont été fermés au cours des 15 dernières années. La casse de l’hôpital public doit s’arrêter. L’Allemagne a deux fois de lits de réanimation médicale que la France. Nous devons rouvrir des lits.

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Les raisons de la colère : Pour une femme médecin avoir un enfant est souvent compliqué, surtout dans les métiers avec des gardes de nuit ( les fausses couches sont plus fréquentes). Les indemnités compensatrices doivent tenir compte des risques. De plus, l’égalité hommes-femmes doit inclure les hommes qui viennent d’être papa pour les congés et les indemnités.

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Les raisons de la colère : dans les centres hospitaliers universitaires les professeurs de médecine ont tout le pouvoir. Il est temps qu’une nouvelle gouvernance voit le jour. Il faut que chaque poste soit paritaire avec un PUPH et un PH.

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Les raisons de la colère : les médecins libéraux défiscalisent leurs indemnités de garde de la permanence de soins depuis 2009. Egalité pour tous. Nous demandons la même chose pour les médecins hospitaliers.

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Les raisons de la colère : Cette indemnité forfaitaire de nuit n’a pas été augmentée depuis 10 ans. Elle ne tient pas compte de la charge de travail. Elle doit être égale entre les médecins et les universitaires. Compte tenu de la pénibilité, nous demandons le doublement des cotisations de retraite pour ces indemnités.

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